Bon ben maintenant que vous vous êtes bien ennuyez à faire ce petit Q.C.M. (quand même un peu plus intéressant que celui de maths hier il faut bien l’avouer) et bien : faites vos comptes :

Maximum de # : vous êtes dans l’attente

Votre devise : un jour, mon prince viendra…

Vous y croyez dur comme fer : votre moitié est quelque part sur cette planète et finira bien pas pointer le bout de son nez. L’homme qui vous comblera de bonheur (et d’orgasmes), certes, vous ne le connaissez pas encore, mais vous êtes persuadée de son existence. Quand la vie vous fait douter, vous vous repassez en boucle des films hollywoodiens où les couples se retrouvent pour vivre une " happy end " avec le fameux : " ils se marièrent et vécurent heureux… "… Vous avez aussi des exemples tout autour de vous. Votre cousine Vanessa a trouvé l’homme de sa vie, un parfait inconnu qui lui a offert des fleurs. Attendre sa moitié c’est beau, c’est romantique, et cela vous permet parfois de vous surpasser. Vous réussissez vos examens, vous obtenez une promotion… Et oui, il faudra bien l’impressionner, ce prince charmant, et puis, en l’attendant, vous n’avez pas envie de jouer les Cendrillons passives. Mais attention, à force de chercher la perfection, vous risquez de laisser passer Alexandre passionné-mais-instable, Jules beau-intelligent-mais-trouillard et Jérôme gentil-mais-petit. Vous trouvez à tous les hommes un défaut plus ou moins grave, et vous attendez " Mister Right " celui qui n’en a pas. Mais vous êtes sûr ? A moins que l’homme parfait existe (on a des doutes), vous avez de bonnes chances de vous retrouver avec le seul compagnon qui ne vous posera pas de problème, ou si peu : vous-même (ou votre nounours Georges).

Allez, chiche: On dirait qu’on n’aurait pas besoin d’être parfaite pour être aimée

Maximum de £ (euh, je suis désolée, mais j’étais un peu à court de symboles, alors j’ai pris ce que j’ai pu…) : vous êtes dans le dégoût. 

Votre devise : tous les mêmes. 

De Jo le salaud à Joël l’infidèle, vous voguez d’un nul à l’autre. Mauvaise série ? Malchance amoureuse ? Quoi qu’il en soit, vous êtes arrivé à un stade où vous pensez que les hommes sont tous instables et menteurs. Ils ont joué avec vos sentiments et vos nerfs, vous ont menée en bateau et on tous fini par vous décevoir. Vous aimeriez bien en trouver un qui vous prouve le contraire, mais vous n’y croyez pas plus que ça. Vous n’avez pas apparemment croisé l’autre partie de la race masculine, celle qui rend heureuse vos copines casées. Du coup, vous ne vous faites aucune illusion, vous vous prenez en main et ne comptez que sur vous-même. La vie vaut la peine d’être vécue, et vous n’attendez pas qu’on vous invite pour allez au ciné, sortir et voir du monde. Vous vous épanouissez très bien seule, vous passez de merveilleux moments entre copines, vous voyager avec votre meilleure amie, vous ne voyez pas très bien où vous placeriez un homme dans votre emploi du temps, ni pourquoi vous lui consacreriez de l’énergie s’il doit vous laisser tomber ensuite. Mais ne pensez-vous pas qu’entre votre discours anti-mecs et votre vie palpitante, vous en laissez aucune chance à l'homme bien de vous approcher ?

Allez, chiche: pourquoi ne pas se laisser mener en bateau, si c’est nous le capitaine ?

Maximum de  + : vous êtes dans le doute

Votre devise : où sont les hommes ?

Vous n’avez rien contre la gent masculine, bien au contraire. Mais vous trouvez que les spécimens de cette espèce se font rares. Entre ceux qui ont viré de bord, ceux qui se comportent comme des ordures, ceux qui piquent votre place dans le bus et ceux qui empruntent votre carte bleue… il y a bien le beau brun que vous croisez dans le quartier, mais il est marié à la belle blonde qui vous nargue, accrochée à son bras. Au bureau, il y en a bien un ou deux qui ne vous laisse pas indifférente, mais vous préférez éviter les histoires de cœurs au travail. Les amis de vos amis ? Casés ou incasables. Il en vous reste que vos yeux pour pleurer ou votre homme pour vous consolez (mais il ne vous emballe plus tant que ça). Vous analyser bien la situation, vous n’êtes ni aigrie, ni sur un petit nuage, juste un peu désemparée. Vous pensez que vos chances de rencontrer un homme qui vous conviendrait sont minimes, alors vous lâchez l’affaire. Soit vous vous contentez de quelqu’un avec qui vous n’êtes pas vraiment heureuse, soit vous vous enfermée dans votre vie de célibataire, au risque de ne pas voir Mister Right, même s’il s’asseyait à côté de vous. Vous n’y croyez tellement pas que vous rendez, sans en être consciente, la rencontre impossible.

Allez, chiche: on ouvre les yeux, on éteint la télé et on descend dans la rue ? : où sont les hommes ?

Maximum de @ : vous êtes dans l’illusion.

Votre devise : tous beaux, tous gentils.

Les hommes vous les aimez, les admirez, les consolez… pour vous, ils sont tous bien : le vôtre si vous en avez un, mais pas seulement. En public, vous prenez toujours leur défense. Si on ose dire du mal d’eux en votre présence, vous vous rebiffez. Vous en tolérez aucun sexisme. Vous ne comprenez pas ces filles si jeunes et déjà désillusionnées. Selon vous, les hommes ne sont pas des lâches, ce sont les femmes qui en savent pas les apprivoiser. Nuance. Gilles a plaqué Julie du jour au lendemain. Oui, mais c’était Julie qui était devenue invivable. Vous leur trouvez toujours une excuse. Vous donneriez votre bénédiction au pire des Don Juan sous prétexte que les femmes n’ont qu’à ouvrir les yeux si elles ne veulent pas tomber dans le panneau. Les hommes sont nos amis, nos pères, nos amants, et vous les louez pour ça. Résultat, vous êtes très appréciée et demandée d’eux pour ça. Vous en comptez plus vos amis masculins. Mais saurez-vous garder votre image de femme ? Vous risquez de devenir un personnage asexué et de vous cloisonner dans le rôle du meilleur pote de service.

Allez, chiche : une liste des cent dix avantages qu’il y a à être une femme ?